samedi 19 avril 2008

Intercession de saint Joseph

Cette statue se trouve à l'église Sacré Coeur de Beau Bassin, Maurice.
J'ai vu cette statue depuis mon enfance. Mes parents assistaient à la messe en face de cette statue de St Joseph.
J'ai fait ma première communion et me me suis marié dans cette église, en 1951.
Les funérailles de mon père et de ma mère ont eu lieu dans cette église.

Intercession de Saint Joseph.

J'ai toujours recommandé à mes enfants et amis de prier St Joseph.
Pour beaucoup de personnes St Joseph [est un saint comme les autres. On oublie qu'il a été le père adoptif du Sauveur. Saint Joseph a porté Jéus dans ses bras? Il lui a enseigné son métier. Dans la vie cachée de Jésus il a été le p-re de Jésus. Tout ce que Jésus demande donc à Jésus, il peut l'obtenir. "La discrétion extrême avec laquelle Joseph accomplit le rôle que Dieu lui avait confié met encore davantage en évidence sa foi, qui consista à se placer toujours à l'écoute du Seigneur, en cherchant à comprendre sa volonté, afin d'obéir à celle-ci de tout son coeur et de toutes ses forces. C'est pourquoi l'Evangile le définit comme un homme "juste" (Mt 1, 19). En effet, le juste est une personne qui prie, qui vit de la foi et qui cherche à accomplir le bien en chaque circonstance concrète de la vie."Jean Paul II, Angélus du 17 mars 2002.

SAINT FRANÇOIS DE SALES (1567-1622)Glorieux Saint Joseph, époux de Marie, accorde-nous ta protection paternelle, nous t'en supplions par le Cœur de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie. O toi dont la puissance s'étend à toutes nos nécessités et sait rendre possibles les choses les plus impossibles, ouvre tes yeux de père sur les intérêts de tes enfants. Dans l'embarras et la peine qui nous pressent, nous recourons à toi avec confiance. Daigne prendre sous ta charitable conduite cet intérêt important et difficile, cause de notre inquiétude. Fais que son heureuse issue tourne à la Gloire de Dieu et au bien de ses dévoués serviteurs.O toi que l'on n'a jamais invoqué en vain, aimable Saint Joseph, toi dont le crédit est si puissant auprès de Dieu que l'on a pu dire « au Ciel Saint Joseph commande plutôt qu'il ne supplie », tendre père, prie pour nous Jésus, prie pour nous Marie. Sois notre avocat auprès de ce Divin Fils dont tu as été ici-bas le père nourricier si attentif, si aimant, et le protecteur fidèle. Sois notre avocat auprès de Marie, dont tu as été l'époux si aimant et si tendrement aimé. Ajoute à toutes tes gloires celle de gagner la cause difficile que nous te confions.Nous croyons, oui, nous croyons que tu peux exaucer nos vœux en nous délivrant des peines qui nous accablent et des amertumes dont notre âme est abreuvée. Nous avons de plus la ferme confiance que tu ne négligeras rien en faveur des affligés qui t'implorent.Humblement prosternés à tes pieds, bon Saint Joseph, nous t'en conjurons, aie pitié de nos gémissements et de nos larmes. Couvre-nous du manteau de tes miséricordes et bénis-nous.Amen.Pie IX Pape pour perpétuelle mémoireDécret « Urbi et orbi »De même que Dieu établit le Patriarche Joseph, fils de Jacob, gouverneur de toute l'Egypte, pour assurer au peuple le froment nécessaire à la vie, ainsi, lorsque furent accomplis les temps où l'Eternel allait envoyer sur la terre son Fils unique, pour racheter le monde, il choisit un autre Joseph dont le premier était la figure ; il l'établit seigneur et prince de sa maison et de ses biens ; il commit à sa garde ses plus riches trésors. En effet, Joseph épousa l'Immaculée Vierge Marie, de laquelle, par la vertu du Saint-Esprit, est né Jésus-Christ, qui voulut aux yeux de tous passer pour le fils de Joseph et daigna lui être soumis. Celui que tant de prophètes et de rois avaient souhaité de voir, non seulement Joseph le vit, mais il conversa avec lui, il le pressa dans les bras d'une paternelle tendresse, il le couvrit de baisers ; avec un soin jaloux et une sollicitude sans égale, il nourrit Celui que les fidèles devaient manger comme le pain de l'éternelle vie.En raison de cette dignité sublime, à laquelle Dieu éleva son très fidèle serviteur, toujours l'Eglise a exalté et honoré saint Joseph d'un culte exceptionnel, quoique inférieur à celui qu'elle rend à la Mère de Dieu ; toujours, dans les heures critiques, elle a imploré son assistance. Or, dans les temps si tristes que nous traversons, quand l'Eglise elle-même, poursuivie de tous côtés par ses ennemis, est accablée de si grandes calamités que les impies se persuadent déjà qu'il est enfin venu le temps où les portes de l'enfer prévaudront contre elle, les vénérables Pasteurs de l'Univers catholique, en leur nom et au nom des fidèles confiés à leur sollicitude, ont humblement prié le Souverain Pontife qu'il daignât déclarer saint Joseph Patron de l'Eglise universelle. Ces prières ayant été renouvelées plus vives et plus instantes durant le saint Concile du Vatican, Notre Saint-Père Pie IX, profondément ému par l'état si lamentable des choses présentes et voulant se mettre, lui et tous les fidèles, sous le très puissant patronage du saint patriarche Joseph, a daigné se rendre aux vœux de tant de vénérables Pontifes. C'est pourquoi il déclare solennellement saint Joseph Patron de l'Eglise catholique. Sa Sainteté ordonne en même temps que la fête du saint, fixée au 19 mars, soit désormais célébrée sous le rite double de première classe, sans octave toutefois, à cause du saint Carême. Elle a voulu en outre que la présente déclaration fût faite par décret de la Sacrée Congrégation des Rites, en ce jour consacré à la Vierge Immaculée, Mère de Dieu, épouse du très chaste Joseph, et que ce décret ait force de loi, nonobstant toute opposition ou disposition contraire.LÉON XIII (1810-1903)En 1889, Léon XIII estime que l'Eglise traverse, selon son expression, des « temps calamiteux ». Le 15 août, en la fête de l'Assomption, il signe une nouvelle Encyclique en faveur de la dévotion au chapelet, dont il s'est fait l'ardent propagateur ; elle porte le nom de Quanquam pluries. De longs développements sur la puissance de saint Joseph remplissent la majeure partie du document pontifical. Léon XIII montre surtout comment Joseph est le modèle des pères de famille et des travailleurs ; il décide que pendant le mois d'octobre, aux exercices du Rosaire sera ajoutée une prière à saint Joseph, que promulgue l'Encyclique. Voici quelques extraits de ce document :Afin que Dieu se montre plus favorable à Nos prières et que, les intercesseurs étant nombreux, il vienne plus promptement et plus largement au secours de son Eglise, Nous jugeons très utile que le peuple chrétien s'habitue à invoquer avec une grande piété et une grande confiance, en même temps que la Vierge, Mère de Dieu, son très chaste Epoux, le bienheureux Joseph : ce que Nous estimons de science certaine être, pour la Vierge elle-même, désiré et agréable.Au sujet de cette dévotion, dont Nous parlons publiquement pour la première fois aujourd'hui, Nous savons sans doute que, non seulement le peuple y est incliné, mais qu'elle est déjà établie et en progrès. Nous avons vu en effet, le culte de saint Joseph que, dans les siècles passés, les Pontifes romains s'étaient appliqués à développer peu à peu et à propager, croître et se répandre à notre époque, surtout après que Pie IX, d'heureuse mémoire, Notre prédécesseur, eut proclamé, sur la demande d'un grand nombre d'évêques, le très saint patriarche patron de l'Eglise catholique. Toutefois, comme il est d'une si haute importance que la vénération envers saint Joseph s'enracine dans les mœurs et dans les institutions catholiques, Nous voulons que le peuple chrétien y soit incité avant tout par Notre parole et par Notre autorité.Les raisons et les motifs spéciaux pour lesquels saint Joseph est nommément le patron de l'Eglise et qui font que l'Eglise espère beaucoup, en retour, de sa protection et de son patronage, sont que Joseph fut l'époux de Marie et qu'il fut réputé le père de Jésus-Christ. De là ont découlé sa dignité, sa faveur, sa sainteté, sa gloire. Certes, la dignité de la Mère de Dieu est si haute qu'il ne peut être créé rien au-dessus. Mais, toutefois, comme Joseph a été uni à la Bienheureuse Vierge par le lien conjugal, il n'est pas douteux qu'il n'ait approché plus que personne de cette dignité suréminente par laquelle la Mère de Dieu surpasse de si haut toutes les natures créées. Le mariage est, en effet, la société et l'union de toutes la plus intime, qui entraîne de sa nature la communauté des biens entre l'un et l'autre conjoints. Aussi, en donnant Joseph pour époux à la Vierge, Dieu lui donna non seulement un compagnon de sa vie, un témoin de sa virginité, un gardien de son honneur, mais encore, en vertu même du pacte conjugal, un participant de sa sublime dignité.Semblablement, Joseph brille entre tous par la plus auguste dignité, parce qu'il a été, de par la volonté divine, le gardien du Fils de Dieu, regardé par les hommes comme son père. D'où il résultait que le Verbe de Dieu était humblement soumis à Joseph ; qu'il lui obéissait et qu'il lui rendait tous les devoirs que les enfants sont obligés de rendre à leurs parents.De cette double dignité découlaient d'elles-mêmes les charges que la nature impose aux pères de famille, de telle sorte que Joseph était le gardien, l'administrateur et le défenseur légitime et naturel de la maison divine dont il était le chef. Il exerça de fait ces charges et ces fonctions pendant tout le cours de sa vie mortelle. Il s'appliqua à protéger avec un souverain amour et une sollicitude quotidienne son Epouse et le divin Enfant; il gagna régulièrement par son travail ce qui était nécessaire à l'un et à l'autre pour la nourriture et le vêtement ; il préserva de la mort l'Enfant menacé par la jalousie d'un roi, en lui procurant un refuge ; dans les incommodités des voyages et les amertumes de l'exil, il fut constamment le compagnon, l'aide et le soutien de la Vierge et de Jésus.Or, la divine maison que Joseph gouverna comme avec l'autorité du père contenait les prémices de l'Eglise naissante. De même que la Très Sainte Vierge est la Mère de Jésus-Christ, elle est la Mère de tous les chrétiens qu'elle a enfantés sur le mont du Calvaire, au milieu des souffrances suprêmes du Rédempteur; Jésus-Christ aussi est comme le premier-né des chrétiens, qui, par l'adoption et la rédemption, sont ses frères.Telles sont les raisons pour lesquelles le bienheureux Patriarche regarde comme lui étant particulièrement confiée la multitude des chrétiens qui compose l'Église, c'est-à-dire cette immense famille répandue par toute la terre sur laquelle, parce qu'il est l'époux de Marie et le père de Jésus-Christ, il possède comme une autorité paternelle. Il est donc naturel et très digne du bienheureux Joseph que, de même qu'il subvenait autrefois à tous les besoins de la famille de Nazareth et l'entourait saintement de sa protection, il couvre maintenant de son céleste patronage et défende l'Eglise de Jésus-Christ.Il existe des raisons pour que les hommes de toute condition et de tout pays se recommandent et se confient à la foi et à la garde du bienheureux Joseph.Les pères de famille trouvent en Joseph la plus belle personnification de la vigilance et de la sollicitude paternelle ; les époux, un parfait exemple d'amour, d'accord et de fidélité conjugale, les vierges ont en lui, en même temps que le modèle, le protecteur de l'intégrité virginale. Que les nobles de naissance apprennent de Joseph à garder, même dans l'infortune, leur dignité ; que les riches comprennent par ses leçons, quels sont les biens qu'il faut désirer et acquérir au prix de tous ses efforts.Quant aux prolétaires, aux ouvriers, aux personnes de condition médiocre, ils ont comme un droit spécial à recourir à Joseph et à se proposer son imitation. Joseph, en effet, de race royale, uni par le mariage à la plus grande et à la plus sainte des femmes, regardé comme le père du Fils de Dieu, passe néanmoins sa vie à travailler et demande à son labeur d'artisan tout ce qui est nécessaire à l'entretien de sa famille.Il est donc vrai que la condition des humbles n'a rien d'abject, et non seulement le travail de l'ouvrier n'est pas déshonorant, mais il peut, si la vertu vient s'y joindre, être grandement ennobli. Joseph, content du peu qu'il possédait, supporta les difficultés inhérentes à cette médiocrité de fortune avec grandeur d'âme, à l'imitation de son Fils qui, après avoir accepté la forme d'esclave, lui, le Seigneur de toutes choses, s'assujettit volontairement à l'indigence et au manque de tout.Au moyen de ces considérations, les pauvres et tous ceux qui vivent du travail de leurs mains doivent relever leur courage et penser juste. S'ils ont le droit de sortir de la pauvreté et d'acquérir une meilleure situation par des moyens légitimes, la raison et la justice leur défendent de renverser l'ordre établi par la Providence de Dieu. Bien plus, le recours à la force et les tentatives par voie de sédition et de violence sont des moyens insensés, qui aggravent la plupart du temps les maux pour la suppression desquels on les entreprend. Que les pauvres, donc, s'ils veulent être sages, ne se fient pas aux promesses des hommes de désordre, mais à l'exemple et au patronage du bienheureux Joseph, et aussi à la maternelle charité de l'Eglise, qui prend chaque jour de plus en plus souci de leur sort...Texte de la prière promulguée par l'Encyclique de Léon XIII :Prière à saint JosephNous recourons à vous dans notre tribulation, bienheureux Joseph, et après avoir imploré le secours de votre très sainte Epouse, nous sollicitons aussi avec confiance votre patronage. Par l'affection qui vous a uni avec la Vierge Immaculée, Mère de Dieu ; par l'amour paternel dont vous avez entouré l'Enfant Jésus, nous vous supplions de regarder avec bonté l'héritage que Jésus-Christ a acquis de son sang et de nous assister de votre puissance, de votre secours dans nos besoins.Protégez, ô très sage Gardien de la divine famille, la race élue de Jésus-Christ ; préservez-nous, ô père très aimant, de toute souillure d'erreur et de corruption ; soyez-nous propice et assistez-nous, du haut du ciel, ô notre très puissant Libérateur, dans le combat que nous livrons à la puissance des ténèbres, et de même que vous avez arraché autrefois l'Enfant Jésus au péril de la mort, défendez aujourd'hui la sainte Eglise de Dieu des embûches de l'ennemi et de toute adversité. Accordez-nous votre perpétuelle protection, afin que, soutenus par votre exemple et votre secours, nous puissions vivre saintement, pieusement mourir et obtenir la béatitude éternelle du ciel. Ainsi soit-il.


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lundi 3 décembre 2007

Le Visage de la Vierge Marie Photo miraculeuse




Le Visage de la Vierge Marie.

La photo miraculeuse du 15 août 2004 reçue à Maurice, à la TV pendant la diffusion en direct par RFO de la messe du pape Jean Paul Ii à Lourdes le jour de l’Assomption.

Commentaires de Sténio Félix.

Le visage de la Vierge Marie n’est pas toujours conforme aux normes des Madones. Souvent, le visage est rayonnante de beauté et de paix comme dans les peintures traditionnelles. Des voyantes ont déclaré qu’aucune femme ne lui ressemble, ni dans la voix, ni dans le visage, ni en rien.
Il y a des Vierges noires et des visages adaptés aux pays ou la Vierge va apparaître. On a vu la Vierge Marie en larmes et en larmes de sang à Naju, par exemple. Dans une apparition elle explique ses larmes : " Mes filles de prédilection, mes larmes que j'ai versées représentent dans le silence la colère de Dieu ".
La Vierge Marie a bien plusieurs visages. A Pontmain un voile de deuil encadre le visage de la Vierge. Dans d’autres apparitions le voile est léger.
Ces apparitions de Vierge au visage caché nous fait penser à à la Vierge voilée de Giovanni Strada, la statue splendide de la très sainte Vierge Marie en marbre, faite par Strazza. La face est voilée, mais le visage et ses expressions peuvent être vus.
Le 15 août 2004 à Lourdes lors de la visite du pape une photo transparente de la sainte Vierge a été obtenue à Maurice de la Tv qui diffusait la messe du pape en direct. Une partie du visage de Jean Paul II parait dans la Vierge. La Vierge elle même est différente de Notre Dame de Lourdes mais porte le Rosaire. Le visage de la Vierge semble enfermé dans un carcan. La photo, signe indéniable est une énigme.
Faisons comme Bernadette, ne cherchons pas à voir qui ne chercha pas à voir sous le voile.

Le carcan est comme une marque de servitude
Le carcan avec un col était posé sur la tête de l’esclave à Maurice et à la Réunion et ailleurs. C’était un mode de supplice pendant l’Inquisition et les guerres de religion. A une époque reculée, des condamnés étaient mis au carcan. Plusieurs moines ont été ainsi victimes de ce supplice. Avant d’être brûlée vive, un lourd carcan est passé dans le cou de Sainte Jeanne D’arc. Ste Agnès a été mis dans un carcan avant d’être martyr. La Sainte Vierge Marie est affligée par la méchanceté des hommes égoïstes qui dans le passé ont mis leurs semblables en servitude permanente. L’état d’esclave dans les îles de l’Océan Indien a laissé des traces indélébiles. L’esclave né esclave dans une sucrerie, a vécu pendant toute sa vie comme dans un camp de concentration Ses fils et ses filles ont été aussi des esclaves. Ils ont donc acquis un sentiment d’infériorité qui ne les a jamais quitté. L’esclave a été soumis à toutes sortes de discrimination et à la peur On ne lui permet pas l’instruction, On ne le permet que de prier. Seul, pas dans l’église du maître.
Si l’esclavage est aboli, les discriminations demeurent un peu partout.
Dans l’histoire de l’humanité la cruauté des peines infligées aux condamnés parait à peine crédible. L’homme a crée des supplices indignes de son état d’homme. Les contraintes de la population des pays d’Europe face à la seigneurie pourraient dans un moindre état se comparer à l’esclavage. Le petit peuple devait se soumettre et souffrir. La triste et fière liberté comme le disait Victor Hugo, n’est pas l’apanage des démunis Pensons aux condamnés à mort, aux martyrs des persécutions à travers les siècles et même de nos jours. L’homme a torturé, pendu, décapité et crucifié d’autres hommes. On voulait même que la douleur et l’agonie soit visible par la foule. Pensons aux génocides des nazis et à des génocides des temps récents en Arménie et en Afrique par exemple, notamment le génocide au Rwanda. Pensons aux fusillés des guerres.
Dans le monde moderne, le carcan de la censure, et de la répression est parfois violent. On massacre des populations.
Les fouets les travaux forcés existent encore.
Devant ces abominations, l’homme a dans son coeur un sentiment de honte. Il se sent coupable, mais dans sa lâcheté, il s’enferme dans son confort matériel et n’intervient pas.
Il faut desserrer les carcans qui étoffent notre monde. Les carcans de l’indifférence de l’égoïsme et de la haine. Il est pénible et grave de constater que de nos jours, le culte de l’argent a même remplacé la religion. Le déclin moral a atteint une apogée.

Depuis que sainte Bernadette a vu la Vierge face à face, combien de personnes se sont détournés du miracle de Lourdes et sont enfermés dans leur cancan antireligieux de société de consommation. La Vierge nous demande de nous libérer des carcans. Il y en a de toutes sortes.
Nous sommes tous prisonniers du carcan d’une existence, de nos habitudes et de nos sentiments. ... Nous nous mettons parfois nous même des carcans. La discipline moderne en est une. De même, les préjugés et la bétise humaine.

On comprend difficilement la présence de ce carcan sur le visage de la Vierge telle qu’elle se montre dans la photo miraculeuse. Le saint père Jean Paul II connaît la raison.
Il nous reste à spéculer : Le monde moderne a muselé le visage de la Vierge pour ne pas entendre ses suppliques de prières.
La Vierge est au supplice tout comme le pape qui souffre de sa maladie et peut à peine parler pour dire la Messe de l’Assomption à Lourdes, en ce jour mémorable.
Ce message du ciel nous fait comprendre que le pape Jean Paul II lui, est avec et en Marie et s’est approché de la vérité du Rosaire. Son visage, dans la Vierge, touche le Rosaire.

L’appel à la foi et la sainteté des papes et de la Vierge Marie lors des apparitions est resté sans suite dans les grandes comme les petites nations. Aucun exemple n’est venue d’en haut des sphères sociales. L’homme reste sourd. Interrogé au sujet de la teneur des secrets de La Salette, Pie IX a répondu: « vous souhaitez savoir le secret de La Salette ? Bien, il est ceci: ‘si vous ne faites pas la pénitence, vous périrez tous’ ». L'appel pour la pénitence a été renouvelé dans les autres apparitions de la Vierge dans le monde. Mais, quand une apparition de la Vierge survient quelque part, les médias l’annoncent comme un fait d’actualité et puis plus rien… C’est oublié. A Marienfield à la question de la voyante "Qui êtes-vous ?" la Vierge répond réponse : "Si je n'avais pas de voile tu me reconnaîtrais" . En partant la Dame dit encore : "J'ai déjà donné tant de signes et si souvent parlé au monde, mais les hommes ne l'ont pas pris au sérieux. De grandes masses sont venues à cause des signes extérieurs, mais pas pour l'essentiel. Nous sommes à la veille d'un temps où tous ceux qui ne croient en moi qu'à cause des miracles visibles seront confus. Les signes extérieurs en amèneront beaucoup à de plus grandes responsabilités, parce qu'ils n'en auront pas tiré les conclusions. "Là où la plus grande confiance règne et où l'on apprend aux hommes que je peux tout, là je propagerai la paix. Puis, quand tous les hommes croiront en mon pouvoir, il y aura la paix. Je suis le signe du Dieu vivant. J'imprime mon signe sur le front de mes enfants. ".

Livre de l'Ecclésiastique
7:22 Car la sagesse mérite bien son nom, elle n'est visible qu'au petit nombre.
7:23 Écoute, mon fils, et reçois mon avis, ne rejette pas mon conseil.
7:24 Mets tes pieds dans ses entraves, et ton cou dans son carcan.
7:25 Incline ton épaule pour la porter, ne sois pas impatient de ses liens.
7:26 Va à elle de toute ton âme, et de toute ta force garde ses voies.
7:27 Suis-la à la piste et recherche-la, elle se fera connaître de toi; quand tu l'auras saisie, ne la lâche pas.
7:28 Car à la fin tu trouveras en elle le repos, elle se changera pour toi en joie.
7:29 Alors ses entraves seront pour toi une protection puissante, et son carcan un vêtement glorieux.
7:30 Son joug est une parure d'or, ses liens sont un ruban de pourpre violette.
7:31 Comme d'un vêtement de gloire tu t'en revêtiras. Comme d'une couronne d'allégresse tu t'en ceindras.